On entend beaucoup parler de bienveillance, de bienveillance au travail, de bienveillance à l’école, de bienveillance dans la vie quotidienne et même de la bienveillance envers soi !
Dans un monde d’individualité et de violence, le besoin de bienveillance reprend toute sa place.
Issu du latin « benevolens » qui signifie très simplement « vouloir ou veiller au bien ». En d’autres termes, il s’agit de notre capacité à nous montrer indulgent et attentionné envers les autres de façon désintéressée.
Aussi pour être bienveillant, il faut être armé d’empathie, être en capacité de comprendre autrui (et non de ressentir les mêmes émotions que les autres).
Être bienveillant, c’est aussi faire preuve d’indulgence, de comprendre, de pardonner, d’accepter les différences, de ne pas juger l’autre… ou soi-même.
Il ne peut y avoir de bienveillance si l’on pense que l’Homme est mauvais par nature.
Pour être bienveillant, il est donc important de ne pas juger les autres, mais de s’expliquer leur comportement, même néfaste, de s’interroger sur leur passé, leurs souffrances, leur éducation, leurs origines, …, toutes ces choses qui peuvent aujourd’hui expliquer, aujourd’hui et maintenant, un comportement que l’on ne trouverait pas adéquat.
Sans cette exercice de compréhension, cette empathie, il est difficile d’être indulgent et donc difficile d’être bienveillant.
L’homme est doué pour se malmener. C’est très logique, il est difficile d’être bienveillant avec les autres sans l’être avec soi-même. Aussi, se mettre soi-même dans un climat positif de bienveillance est une des clés de la réussite, tant sur un plan social, que professionnel, que familial, …, et contribue à notre santé mentale, influençant elle-même notre santé physique.
Alors comment faire ?
Le travail suppose également la vie en communauté, mais manager en bienveillance serait une clé du succès.
L’intérêt d’être bienveillant dans ce domaine est triple :